34 35 En balade au fil des eaux En balade au fil des eaux Direction du Développement Durable des Territoires de la province Sud I Le Refuge des Muletiers, près des marais Son nom provient de son emplacement situé à proximité d’un ancien sentier muletier emprunté par le GR®NC1. Ses sentiers se trouvaient empruntés soit par les bagnards pour l’exploitation minière ou forestière, soit par les Kanaks pour passer d’une vallée à une autre et échanger avec d’autres tribus. L’élaboration du GR®NC1 s’est appuyé sur le tracé de ces sentiers afin de minimiser l’impact environnemental et préserver la mémoire de ces chemins au caractère historique et patrimonial. Au gré de votre balade, vous apercevrez peut-être quelques vestiges de ce passé (anciens murets de pierres, vestiges miniers, vieilles grumes coupées lors de l’exploitation forestière). La Rivière Blanche Un réseau hydrographique mystérieux se fragmentant Une circulation énigmatique La Rivière Blanche revêt de multiples formes, tantôt étroite, tantôt large, parfois impétueuse au ressaut de ses cascades. Cours d’eau au débit variable du fait qu’elle draine un bassin versant relativement important, son franchissement peut être délicat voire impossible en cas de forte pluie. Sinuant dans la plaine parsemée de discrets vestiges La Locomobile Témoin de l’exploitation forestière du début du XXe siècle, cette chaudière est le vestige d’une locomobile. Enorme treuil à vapeur, elle servait à tirer les arbres abattus dans la forêt sur pente. Guidés dans leur descente, les arbres acheminés en bord de piste étaient chargés sur des wagons et transportés en petit train vers l’embouchure de la Rivière des Pirogues. Au fil de sa course, elle développe de longs et méandreux réseaux qui se divisent puis se rassemblent formant une communication entre de nombreux étangs qui abritent notamment des anguilles. Cascade sur la Rivière Blanche Marais de la Rivière Blanche Vestiges de rails
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