Étude sur le potentiel de covoiturage en province Sud - 2019-2020

11 (surtout pour les jeunes femmes), l’activité sportive, la religion, l’établissement scolaire… L’idée de cette stratégie est d’aider les personnes qui ont quelque chose en commun à se connecter, de leur faciliter les connexions, les mettre en relation, même s’ils ne se connaissent pas. Une fois que la masse critique sera atteinte grâce aux organisations et groupements, il sera plus facile de cibler en second lieu le grand public, avec cette optique de proposer du covoiturage par centres d’intérêt. Cette stratégie concorde avec la seconde stratégie qui relie entre eux les salariés d’organisations connexes ou partenaires. Dans cette optique, il serait envisagé de laisser le libre choix aux femmes de pratiquer un covoiturage exclusivement féminin. 3 - 4 – Rendre le covoiturage attractif Le covoiturage doit être attrayant. Le rendre économiquement intéressante et avantageux en termes de qualité de vie. Il faut penser incitations, récompenses, privilèges. Ces éléments devraient permettre de peser dans la balance, en compensant les éventuels inconvénients du covoiturage, notamment la perte relative d’autonomie. 3 – 5 – Rendre le covoiturage facile Le covoiturage doit être facile. Il faut proposer des outils faciles à utiliser (notamment outils web), des infrastructures facilitant le parking ou l’accès à des zones réservées, de la signalétique facile à reconnaître, des alternatives faciles à mettre en œuvre en cas de défaillance du conducteur, etc. 3 - 6 – Rendre le covoiturage sécuritaire Le covoiturage doit être sécuritaire. Il faut imaginer des dispositifs et des outils qui renforcent la sécurité du conducteur et des passagers.

RkJQdWJsaXNoZXIy MjE1NDI=